Hello
C'est une théorie trÚs intéressente je trouve!
Elle semble logique et quand mĂȘme crĂ©dible, elle mĂ©rite de s'y attarder, mais je doute qu'elle puisse rĂ©ellement ĂȘtre confirmĂ© officiellement un jour..!
Comme tu l'as dit, les facteurs influançant la croissance sont trĂšs nombreux et ils entreront en conflit dans toutes Ă©tudes possibles, il devient alors trĂšs facile de contredire de façon superficielle cette mĂȘme thĂ©orie
Si on prend seulement par exemple la possibilitĂ© ( quand mĂȘme trĂšs forte!) que la prĂ©sence d'un prĂ©dateur stresserait le reptile en question. Le stress afaiblirait son systĂšme et diminuerais son appetit.. et donc la quantitĂ©e de nourriture consommĂ©e, ralentissant ainsi sa croissance Ă court terme..
Et puis il est impossible de se baser sur les animaux que la population en général ont pour établir des conclusions puisque la quantitée de nourriture disponible aux reptiles dans la nature reste trÚs limitée à coté de celle qui leur est offerte dans la plupart de leurs foyer adoptifs...
Il faudrait donc des clones parfait d'un mĂȘme spĂ©cimen, qui seraient gardĂ©s dans des environnements idĂ©aux et parfaitement identiques ormis pour le facteur sur lequel on discute prĂ©sentement...?
Mais quel serait rĂ©ellement ce facteur pouvant augmenter l'instinc de survie en nature, qui lui-mĂȘme celon ta thĂ©orie augmenterait à ça façon le taux de croissance d'un reptile...? Comment est-ce que le cerveau reptilien pourrait-ĂȘtre stimulĂ© de façon Ă accomplir tout ca?
Celon ma prĂ©cĂ©dente thĂ©orie ce ne serait pas la prĂ©cense d'un prĂ©dateur... du moin a court terme! Mais mĂȘme si ce ne serait que les "sĂ©queles" tardives d'une visite d'un prĂ©dateur... dans l' environnement le plus aseptisĂ© qu'il soit, un reptile pourra toujours avoir un jour ou l'autre l'impression qu'un predateur est prĂšs... S'il n'a jamais rien connu d'embarrassant, rien, aucune vibration, que le nĂ©ant... Au premier souffle sur lui, il pourrait peut-ĂȘtre freeker autant qu'un autre (habituĂ© Ă de divers stress) qui vient de se faire arracher une patte...(mais j'avoo que l'exemple est un peu exagĂ©rĂ©.. lol) Les points de comparaisons deviennent faibles.
Peut-ĂȘtre serait-ce alors les grands espaces qu'il y a dans la nature? Mais plusieurs espĂšces restent dans des espaces trĂšs restraint toute leur vie... ou peut-ĂȘtre serait-ce alors valable que pour les espĂšces trĂšs actives...?
Ou encore peut-ĂȘtre que ça pourrait ĂȘtre les fluctuations de tempĂ©ratures plus importantes ou plus rĂ©guliĂšre associĂ© a la rĂ©gion d'origine du reptile...
Ou le vent? Ou une molécule dans l'air encore inconnue que l'on retrouve en plus grande quantitée dans les forets loin de nos habitations... Ou les fluctuations des proportions d' O2/CO2 de l'air en foret causé par la photosynthÚse et la respiration des végétaux.........( ça a dlair fou comme idée mais...!) Ou les vibrations produites par les feuilles qui bougent? Ou l'esprit de la terre...? mmmM Les possibilitées sont énormes..
Ca vaut la peine d'y penser, non?
Guillaume