2 moyens dont 1 un peu contreversé
le premier est via sillon épiglastique:
Le sillion épiglastique se trouvent en dessous de l'abdomen de la mygale juste entre les deux paires de poumons. Chez une femelle mature le sillion épiglastique est court, légèrement ouvert, dépourvue de poils et légèrement bombé. Chez le mâle il est beaucoup plus long fermé et couvert de poils. Juste au dessus de celui-ci on peut voir ''l'epiandrous fusillae'' une petite zone légèrement noirâtre et velu mais c'est pas évident (et c'est pas présent dans tous les genre). Cette méthode est est contreversé car ces critères varient d'une espèce à une autre et d'un genre à un autre. Même que chez la pluspart des genre et aussi chez la pluspart des mygalons c'est presques qu'impossible d'utiliser cette méthode. De plus cela laisse place à interprétation donc à éviter
La seule méthode fiable:
la deuxième méthode est en identifiant la présence ou non de spermathèque:
En effet la mygale doit changé de peau pour croître, évolué et ce regénéré. Elle laisse derière elle une peau que l'on appelle exuvie. Dans cette exuvie, au niveau de l'abdomen se trouve chez la femelle se que l'on appelle une spermathèque (bipartale ou non). Cette spermathèque est en faite un réservoir à sperme. Le mâle lors de la reproduction introduit ses bulbes copulateurs (situer sur ses pédipalpes) dans le sillons épiglastique de la femelle et y dépose le sperme qui est emmagasiner dans cette spermathèque. Alors dans l'exuvie si spermatheque il y a alors cest une femelle sinon male
Voila un peu ou tu dois chercher la présence de spermathèque
Voila